Compléter La critique keynésienne Version en ligne la critique keynésienne du fonctionnement du marché du travail néo-classique par Jay SESBLOGS 1 long loi diminuera décroissante demande marginale stable effective chômage rigidité flexibilité n'influencent débouchés demande subsister l'équilibre nominaux involontaire monétaire d'équilibre croissante la détermination de l'offre de travail Rappel de l'analyse néo - classique : l'offre de travail est une fonction du taux de salaire réel Rejet de l'analyse néo - classique par Keynes : Il refuse d'accepter l'idée que l'offre de travail soit une fonction croissante du taux de salaire réel , non seulement car les individus sont victimes d'illusion : ils raisonnement en termes et non réels . Mais aussi car la durée du travail est fixée par la . L'offre de travail est donc à court terme elle dépend de variables légales sociales ( natalité ) qui n'évoluent que dans le terme la détermination de la demande de travail Rappel de l'analyse néo - classique : Selon l'analyse néo - classique , la demande de travail est une fonction du taux salaire réel ( la productivité du travail devant être supérieure ou égal au taux de salaire réel ) . Par contre les variations de la demande de biens pas la demande de travail . Raisons du rejet de l'analyse néo - classique par Keynes : On peut , au contraire , considérer avec Keynes qu'une chute du taux de salaire réel va entraîner une réduction de la de biens qui se répercutera sur la demande de travail qui la détermination de l'équilibre Rappel de l'analyse néo - classique : Les néo - classiques considèrent , que grâce aux variations du taux de salaire réel ( du salaire ) , on tend toujours vers . Raisons du rejet de l'analyse néo - classique par Keynes : Keynes développe deux critiques : - il démontre que le taux de salaire réel n'étant pas connu lors des négociations salariales ( on discute du salaire nominal ) , rien n'assure que , a posteriori , on obtienne un taux de salaire réel . La flexibilité des salaires réels n'a donc plus la capacité de ramener le marché du travail à l'équilibre , les agents économiques pouvant être victimes d'illusion monétaire - Keynes développe un second angle de critique : dès lors que la de travail des entreprises est fonction de l'évolution des qu'elles connaissent , il peut exister un chômage qui est le produit , non de l'attitude des salariés mais du système économique lui - même . En effet , comme l'indique P . Delfaud , « en l'absence de toute des salaires à la baisse , il peut , du seul fait que l'emploi offert est déterminé tout à fait indépendamment de la population active par le seul niveau de la demande » du involontaire .