1
Zone sur le parcours d’une course dans laquelle les coureurs trouvent de quoi s’alimenter et s’hydrater.
2
Nombre de coureurs n’ayant pas éprouvé de la difficulté en commençant la course à pied (essoufflements, douleurs dans les muscles...).
3
Temps nécessaire pour parcourir une certaine distance. S’exprime en minute par kilomètre.
4
Diminution du taux de sucre dans le sang entraînant une baisse brutale de ses capacités physiques.
5
Étirement ligamentaire provoqué par un mouvement de torsion brutal et non contrôlé de l’articulation concernée.
6
Inflammation du tendon, élément fibreux entouré d’une gaine reliant les os aux muscles.
7
Revêtement des pistes d’athlétisme.
8
Démarche visant à améliorer les performances sportives comprenant préparations physique, technique, tactique et mentale.
9
Phase de transition entre l’état de repos et un effort physique ayant pour but de préparer l’organisme à l'effort.
10
Exercice visant à renforcer la sangle abdominale, le plus connu consiste à maintenir la position de « planche » pendant plusieurs secondes.
11
Contraction musculaire soudaine, involontaire et douloureuse.
12
Distance couverte entre deux appuis successifs au sol.
13
Nombre de pas effectués par minute.
14
Feuille de papier sur laquelle est inscrit un numéro identifiant chaque coureur.
15
Effort maximal et bref d’un coureur pour atteindre sa vitesse de course la plus élevée.
16
Course à pied en pleine nature dont la proportion de chemins est supérieure à 75%. Peut être pratiqué en forêt, en montagne ou encore en plaine et peut présenter un dénivelé important.
17
Phlyctène. Cloque formée par le frottement répété de la peau contre une surface externe.
18
Lésion musculaire due à une déchirure d’un certain nombre de fibres musculaires.
19
Épreuve de course à pied longue de 42,195 kilomètres qui se dispute sur route.
20
Douleurs musculaires apparaissant 24 à 48 heures après un effort physique.