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1. 
Selon le règlement d'une filature de l'Essonne en 1828:
A.
La journée de travail se compose de treize heures.
B.
La journée de travail se compose de huit heures.
C.
Le retard de l'ouvrier ne sera pas puni.
D.
Le retard de 10 minutes d'un ouvrier de 10 minutes sera puni avec une amende.
E.
L'ouvrier qui se présentera ivre paiera trois jours d'amende.
F.
On ne peut pas aller aux toilettes plus de trois fois par journée.
2. 
Betty Harris (femme de 37 ans), travaille, en 1842:
A.
À l'intérieur d'une mine.
B.
Dix-huit heures par journée.
C.
Pendant la pause, elle mange du pain et du poisson.
D.
Elle travaille dans un espace très humide; l'eau passe toujours au-dessus de ses chaussures.
3. 
Selon l'avis de Villermé:
A.
Les ouvriers n'ont pas la possibilité de faire des économies.
B.
Dans les familles ouvrières, un troisième enfant, un chômage, une maladie peuvent provoquer la misère.
C.
La majorité des ouvriers employés dans une filature de coton gagnent plus que le strict nécessaire.
4. 
Selon le témoin de J. Marseille dans "Une vie de lingère":
A.
Elle sait passablement lire et écrire.
B.
La lingère travaille chez elle.
C.
Son frère paye son logement.
D.
L’ouvrière, consacre 10 heures par jour à son travail.
E.
L’ouvrière et son enfant font généralement trois repas par jour.
F.
La surface totale de la pièce où elle habite est de 100 mètres.
5. 
On peut considérer que la grande bourgeoisie au XIXème siècle:
A.
Ce sont les entrepreneurs, banquiers, négociants, et les hauts fonctionnaires.
B.
Ce sont les médecins, avocats, journalistes, enseignants, employés, ingénieurs.
C.
Ils vivent entourés de domestiques et donnent de grandes réceptions.
6. 
Selon le paternalisme bourgeois:
A.
L'État ne doit jamais se mêler en question de salaires.
B.
Les ouvriers ne sont jamais sous la volonté protectrice du patron.